Toi le petit prodige de cette immense Scuderia Ferrari
J’ai eu le plaisir de te croiser cette saison, un peu plus
tôt,
Sous la pluie, un samedi, dans le paddock de Monaco
Ton sourire éblouissait un triste et tenace ciel gris, Tu étais chez toi, comme un vrai petit Niçois,
Au-delà du résultat, tu as brillé,
brillé par ce regard passionné qui ne te quitte jamais,
Même au volant d’une très modeste Marussia
Du karting
à la F1, de Brignoles à Monza,
tu as rendu fier ta famille et celle du sport auto
Comment arrêter ce cheval au galop ?
Tu as tout l’avenir devant toi
Tu ne peux
pas nous quitter,
Beaucoup l’ont déjà fait avant toi,
Je sais que tu lèveras encore les bras,
Histoire de saluer le drapeau à damier
Tu as
encore tellement de choses à nous montrer,
Encore tant de points à engranger,
Tant de foules à faire lever,
Reviens-nous Jules, s’il te plait.
Texte et photo: Julien Balidas
@JulienBalidas
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