J’aime
le football, le sport numéro un pour moi. Eh oui, quoi de plus
normal quand on est jeune et surtout lorsqu’on est d’Afrique,
continent où ce sport est à la fois facteur unificateur des
populations et quelque peu moyen de récupération pour les
politiques qui, dès lors qu’il s’agit du ballon rond, mettent
plus de moyens par rapport aux autres disciplines. J’aime le foot
je disais, et naturellement je suis au parfum de tout ce qui se passe
dans les grands championnats du monde, européens surtout où, chaque
semaine, les plus beaux derbys des grandes écuries crèvent les
écrans.
L'auteur du texte, Assane Faye Ndiaye
Dans ma passion du foot, j’ai toutefois un attachement indéfectible, viscéral même pour mon équipe nationale, celle des Lions de la Téranga du Sénégal. Aimer son équipe nationale est logique, normale.
Peu importe le vainqueur dans le fameux Clasico espagnol, je ne me vois pas perdre l’appétit après une défaite du Real ou du Barça. Je ne m’imagine pas non plus avoir une nuit d’insomnie après que le PSG a fini de battre l’OM bien que je me sente plus proche du club phocéen que de celui de la capitale française. Tout ceci pour dire que je n’ai pas d’équipe particulière comme mes amis qui se sentent liés éternellement à une grande team du Big 4 anglais ou à un club du duo de tête du championnat ibérique. Je ne supporte que les équipes où il y a un international sénégalais, autant dire que je ne supporte que ce joueur sénégalais.
Eh oui, seul un match de l’équipe du Sénégal peut me faire sentir les émotions du vrai supporter. D’ailleurs l’unique fois où le football m’a fait couler « amèrement » quelques larmes sur mes joues ce fut lors de la finale de la Coupe d’Afrique desNations 2002 où le Cameroun prenait le trophée devant le Sénégal suite aux épreuves des tirs au but. Et je ne pense pas verser des larmes pour le football, à moins que le Sénégal gagne la CAN ou la Coupe du monde. Qui sait? C’est possible !
C’est cela ma passion pour le football. Fortement chauvine, elle n’admet d’émotions véritables que lorsque les « Gaïndés » entonnent le Lion rouge, l’hymne du pays de la Téranga.
L'auteur du texte, Assane Faye Ndiaye
Dans ma passion du foot, j’ai toutefois un attachement indéfectible, viscéral même pour mon équipe nationale, celle des Lions de la Téranga du Sénégal. Aimer son équipe nationale est logique, normale.
Peu importe le vainqueur dans le fameux Clasico espagnol, je ne me vois pas perdre l’appétit après une défaite du Real ou du Barça. Je ne m’imagine pas non plus avoir une nuit d’insomnie après que le PSG a fini de battre l’OM bien que je me sente plus proche du club phocéen que de celui de la capitale française. Tout ceci pour dire que je n’ai pas d’équipe particulière comme mes amis qui se sentent liés éternellement à une grande team du Big 4 anglais ou à un club du duo de tête du championnat ibérique. Je ne supporte que les équipes où il y a un international sénégalais, autant dire que je ne supporte que ce joueur sénégalais.
Eh oui, seul un match de l’équipe du Sénégal peut me faire sentir les émotions du vrai supporter. D’ailleurs l’unique fois où le football m’a fait couler « amèrement » quelques larmes sur mes joues ce fut lors de la finale de la Coupe d’Afrique desNations 2002 où le Cameroun prenait le trophée devant le Sénégal suite aux épreuves des tirs au but. Et je ne pense pas verser des larmes pour le football, à moins que le Sénégal gagne la CAN ou la Coupe du monde. Qui sait? C’est possible !
C’est cela ma passion pour le football. Fortement chauvine, elle n’admet d’émotions véritables que lorsque les « Gaïndés » entonnent le Lion rouge, l’hymne du pays de la Téranga.
Vous pouvez suivre Assane
Faye Ndiaye sur twitter
@assndiaye
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